Réflex. socio-polit. avant 1982
Réflexions socio-politiques / activités antérieures à l’année 1982
Ces quelques réflexions socio-politiques datant d’au moins 30 années ont été suscitées par certaines de mes anciennes activités dans les secteurs de l’éducation populaire, de l’enseignement supérieur et de la recherche et du syndicalisme en recherche publique :
a – après avoir été cofondateur d’une Maison des Jeunes et de la Culture en banlieue parisienne et animateur bénévole dans cette M.J.C. de 1952 à 1955 – puis avoir dirigé en 1961 une petite enquête sur les “besoins et aspirations des jeunes en matière d’équipements socio-culturels” :
un article publié dans une revue française officielle en 1966 sur les finalités des Maisons des Jeunes et de la Culture (M.J.C.) et les conceptions relatives à leur réalisation et à leur “animation”.
b – (alors que j’étais professeur invité pour 2 ans à l’Université de Montréal et syndiqué) un court article publié à Montréal en 1968 dans le bulletin syndical du S.P.U.M. en contribution au débat provoqué par le mouvement de contestation étudiante au Québec – article intitulé “l’Université, à quoi ça sert ?“
c – (alors que je venais d’être élu pour 5 ans membre du Comité national de la recherche en section de sociologie, représentant syndical des chercheurs de rang B) une analyse critique – antimandarinale – du fonctionnement de cette commission, publiée en 1971 dans le bulletin de liaison CFDT des sociologues, focalisée sur une analyse socio-linguistique du “langage élitiste de nos patrons”
d – (alors que je participais activement à la Commission “Politique de Recherche” du SGEN-CFDT) une contribution personnelle au grand débat initié par le ministre Pierre Chevènement en 1981 en vue des Assises régionales et du Colloque national sur le thème “Recherche et Technologie” : contribution intitulée “Brèves interrogations sur les responsabilités sociales spécifiques des travailleurs de la recherche dans le secteur des Sciences humaines et sociales”.
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